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Vous êtes consultant(e) informaticien(ne) indépendant(e) ? Percevez 84% de votre C.A HT en rémunération nette avant impôt.


Un consultant en informatique travaille devant ses multiples écrans

Opter pour une activité de consultant(e) indépendant(e) ouvre de nombreuses perspectives d’évolution pour le professionnel dans le domaine de l’informatique. Par rapport à un(e) salarié(e), ou même un statut d’auto-entrepreneur, l’exercice du métier d’informaticien(ne) en tant que freelance accorde une certaine latitude sur la gestion de ses partenaires et de ses missions via une indépendance administrative et fiscale. Avec le produit d’optimisation sociale JLPLUS® de JL Portage, et la solution de portage entrepreneurial, le(la) consultant(e) informaticien(ne) indépendant(e) garde sa liberté tout en bénéficiant d’une gestion centralisée de ses activités. Le dispositif permet en l’occurrence de percevoir en rémunération nette avant impôt 84% du chiffre d’affaires HT. Découvrez ici comment cela fonctionne.


Informaticien(ne)s indépendant(e)s : les freins qui empêchent d’avancer


La grande majorité des freelances dans le domaine de l’informatique choisit le statut de travailleur indépendant pour des raisons pratiques, techniques et personnelles. En effet, cette indépendance signifie un détachement aux diverses contraintes inhérentes au statut de salarié(e), à savoir :


  • La subordination à un supérieur hiérarchique

  • Le respect d’un horaire et d’un programme

  • La livraison effective et continue d’un volume de travail précis

  • L’absence du choix de mission

  • La perception d’un salaire fixe indépendamment de la difficulté ou du volume de travail.


En l’occurrence, le statut d’indépendant(e) promet plus de souplesse au niveau du rythme de travail, de la gestion professionnelle et personnelle du temps et de l’évolution. Pour les informaticien(ne)s, cette situation favorise le libre choix de leur voie (sécurité réseau, web, développement, IA, etc.) et d’évoluer dans ce sens sans aucune pression particulière.

Cependant, être indépendant(e) expose également les professionnels à des risques au moment de choisir leur statut juridique. En France, il existe différents statuts qui sont fiscalement, socialement et administrativement adaptés aux activités de chacun. Et les uns comme les autres cachent des inconvénients qu’il faut connaître :


La micro-entreprise


Ce statut est adapté aux freelances qui recherchent un démarrage rapide avec peu de moyens. Il est ouvert à tous les profils et ne requiert qu’une déclaration de début d’activité, suivi de documents comptables à jour (livre de dépense et recettes). Sur le plan fiscal et comptable, les informaticien(ne)s impliqué(e)s dans le régime de la micro-entreprise relèvent du TNS et paient l’URSSAF. Cela dit, leur chiffre d’affaires est limité à 72 600 euros avec un plafond intermédiaire d’exonération de TVA de 34.400 euros.


L’entreprise individuelle


Ce statut est un peu plus évolué et offre plus de protection sur le plan social par rapport à la micro-entreprise. En effet, les indépendant(e)s qui optent pour ce système créent une société immatriculée. L’EI peut être assimilée au régime fiscal de la micro-entreprise ou au régime réel, soumis à l’IR à partir du CA.


L’Entreprise EURL ou SARL


Ici, on entre totalement dans le régime d’une société pleinement constituée. Cela signifie que l’activité est exécutée au nom de la société, et la responsabilité est comme son nom l’indique « limitée » suivant les apports. En outre, ce statut plonge le(la) professionnel(le) dans un marasme de « paperasse » qui peut nuire à son évolution (constitution de dossiers, statuts, immatriculation, déclarations diverses, bilan, rapport, assemblée générale, contrôle fiscal, contrôle URSSAF). Ce système engage l’indépendant(e) à un régime social coûteux (cotisations même sans rémunération, URSSAF ou SSI).


En résumé, rentrer dans un statut d’indépendant(e) pour un(e) consultant(e) informatique garantit l’autonomie, mais n’assure pas l’épanouissement ni la sécurité. Mais faut-il pour autant retourner dans le cadre du salariat ? Pas du tout !


Aujourd’hui, des solutions comme le portage entrepreneurial et plus précisément les solutions d’optimisation « JLPLUS® » proposées par JL PORTAGE aident les indépendant(e)s à rester dans le contexte libéral du statut d’indépendant tout en fluidifiant et en allégeant leurs charges sociales et administratives.


Le portage entrepreneurial au service des informaticien(ne)s


Prendre le chemin du portage entrepreneurial est salutaire pour concrétiser ses projets en tant que consultant(e) informatique indépendant(e). Ce système qui existe depuis 2014 offre notamment la sécurité et la praticité attendues par les professionnel(lle)s qui débutent dans le freelance via le soutien d’une entreprise de portage.


En substance, le portage entrepreneurial laisse au(à la) porté(e) la responsabilité de gérer le déroulement de ses activités, le choix de ses partenaires, l’horaire de travail, la fixation de ses honoraires. À cet effet, la personne pourra accomplir ses missions, comme tout indépendant, pour des clients qu’elle aura choisis, avec lesquels elle a établi un contrat de prestation commerciale. D’autre part, l’indépendant(e)-portée mettra entre les mains de l’entreprise de portage les tâches administratives, comptables et sociales de sorte qu’elle puisse économiser du temps et profiter de divers leviers d’optimisation du revenu.


Comment cela fonctionne ?


Le portage entrepreneurial est un statut qui permet de bénéficier de la couverture sociale du « salarié » tout en restant « indépendant » comme un président de SASU. Sur le plan juridique, il met en relation le(la) porté(e) et l’entreprise de portage à travers un mandat. Ensuite, le(la) professionnel(le) est lié(e) aux clients donneurs d’ordre (qui peuvent être des entreprises, des associations ou des personnes privées) par un contrat commercial régi par le code du commerce.


  • Sur le plan social, l’indépendant(e)-porté(e) est inscrit(e) au régime général de sécurité Il(elle) reçoit notamment un bulletin de paie.

  • Sur le plan administratif, l’indépendant(e)-porté(e) jouit de l’accompagnement de l’entreprise de portage qui se charge de verser la rémunération avant impôt et de gérer toute la paperasse.

  • Enfin, le plus grand avantage du portage entrepreneurial réside dans la liberté de rémunération. Ainsi, le(la) consultant(e) indépendant(e) n’est pas imbriqué(e) dans un système de salariat, ni d’entreprise (pas de société créée à son nom). Cela signifie que le chiffre d’affaires n’est pas limité et que la société de portage n’a pas obligation de verser un salaire minimum. Cette facette du portage entrepreneurial est donc primordiale pour un(e) professionnel(le) indépendant(e) qui veut élargir ses horizons dans le futur. D’ailleurs, c’est l’un des plus grands avantages du système par rapport au portage salarial qui impose un versement de salaire minimum (article L1254-21 du Code du Travail), et donc qui impose au(à la) salarié(e)-porté(e) de réaliser un chiffre d’affaires minimum.

 

JLPLUS® vous permet de percevoir 84% de votre CA.H.T.


Le portage entrepreneurial JLPLUS® s’adresse aux consultant(e)s indépendant(e)s en quête d’un meilleur confort de travail. Son impact se ressent directement sur l’harmonisation et l’évolution de vos activités. De plus, il garantit une meilleure sécurité en vous délestant des missions qui risquent de vous mettre à nu face aux risques de gestion professionnelle et administrative.


En substance, le portage entrepreneurial JLPLUS® vous permet de :


  • Démarrer votre activité en 48h. Vous voulez vous lancer dans une activité d’audit d’architecture informatique, de conseil, de formation, de gestion software… JLPLUS® s’occupe de votre dossier pour démarrer quasi instantanément et se concentrer sur l’opérationnel.

  • Commencer sans statut d’entreprise. Avec la solution de portage entrepreneurial, profitez d’un statut souple qui ne nécessite aucune constitution d’entreprise. De cette façon, vous n’êtes pas obligé(e) de penser aux différentes charges administratives comme la contrainte de plafonds, l’établissement d’un bilan comptable, la déclaration sociale et fiscale.

  • Approfondir et multiplier votre chiffre d’affaires sans être limité(e) par un plafond. Le statut de porté(e) vous ouvre la voie vers la diversification, que ce soit au niveau des activités, des missions, mais aussi de la rémunération. Grâce à ce système, vous pourrez agrandir votre champ d’action et toucher plus de clients, choisir des missions spécifiques selon vos capacités.

  • Profiter d’une protection sociale. L’outil JLPLUS® veille à ce que vous perceviez le maximum de rémunération nette avant impôt en écartant les charges sociales, le coût d’une RCP (responsabilité civile professionnelle), la CFE (Cotisation Foncière des Entreprises) tout en étant couvert(e) par le Régime général de Sécurité sociale.

  • L’outil JLPLUS ® est paré d’un dispositif de gestion centralisée qui a pour mission de contrôler et d’alléger les tâches administratives qui ralentissent votre évolution au quotidien. Aussi, la société de portage vous déleste des opérations chronophages et usantes concernant la facturation, les déclarations fiscales, etc. Elle vous met à l’abri d’un contrôle fiscal ou contrôle URSSAF.

  • Échapper aux charges bancaires. Le portage entrepreneurial ne vous oblige pas à souscrire un compte bancaire professionnel contrairement aux autres statuts traditionnels. Cela vous libèrera des différentes charges bancaires et cotisations mensuelles qui peuvent franchir les 50 euros (suivant le type d’institution et service).

  • Obtenir une rémunération nette avant impôt. JLPLUS® applique tous les leviers d’optimisation de vos charges sociales pour dégager une rémunération à hauteur de 84% (contre environ 50% seulement pour les statuts traditionnels). Montage juridique d’optimisation sociale validé par un rescrit de l’URSSAFF en 2017.

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