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statistiques

Entrepreneuriat 2022 : Les zones d’ombre qui font tomber les jeunes start-ups

By AdminJlPortage  Published On 22 April 2022

Devenir son propre patron, se libérer du système de salariat, gagner en notoriété, élargir son revenu, autant de raisons sont à l’origine de la création d’entreprise partout dans le monde. En France, les incitations gouvernementales, mais aussi l’instabilité économique poussent des milliers de personnes à créer leur propre business chaque année. Pourtant, ces grandes ambitions sont très vite refroidies par le spectre des défis auxquels l’entrepreneur doit se confronter. D’innombrables zones d’ombre liées à la planification, la gestion d’entreprise, les financements, les impôts, le personnel, l’administration transforment notamment le rêve de percer le marché en cauchemar, après quelques semaines ou mois d’activités. Revisitons ces facteurs qui font trébucher les jeunes start-ups pour avoir un meilleur aperçu de l’environnement entrepreneurial en 2022.

Section 1 : Des pièges estompés par le mirage de la réussite.

Avec un taux d’échec culminant à 80% pour les start-ups, la France continue de battre les records de création d’entreprises chaque année. En 2021, près d’un million de sociétés ont pris vie, malgré une conjoncture économique, sociale et sanitaire totalement instable. Mais quelles sont donc les raisons qui poussent ces entrepreneurs à se lancer dans une période aussi imprévisible que 2022 ?

Les Français toujours plus nombreux à se lancer dans l’entrepreneuriat. Pourtant, le volume d’échec ne diminue pas.

Le verdict de l’INSEE est sans appel : la France a connu la période la plus faste de son histoire en termes de création d’entreprise en 2021. Avec un total de 995,9 milliers de sociétés enregistrées, y compris les micro-entreprises, les Français sont pris par une fièvre entrepreneuriale incommensurable.

Cet engouement pour le business indépendant ne date pas d’hier. En l’occurrence, l’institut de statistique affirme que la croissance entrepreneuriale fulgurante a démarré en 2020 (4% par rapport à 2019) avant d’atteindre son sommet en 2021 (17,4% par rapport à 2021). Tout porte à croire que la crise sanitaire a eu un impact sur la décision des Français à se lancer.

En effet, la corrélation entre la période de crise et le démarrage d’une affaire est bien réelle. Dans un premier temps, la récession instaure un sentiment d’insécurité chez les salariés (crainte de la fermeture d’une boite, de la réduction de personnel, du chômage partiel, etc.). Cette situation anxiogène pousse les ménages à trouver un refuge en créant une société par nécessité. Ainsi, la grande majorité de ces entreprises se tournent vers les secteurs déjà creusés et très concurrentiels, comme la restauration et l’hébergement (+14%), la santé et les actions sociales (+10,8%) et l’industrie manufacturière (+9,4%) selon l’INSEE. Dans un second temps, la crise ouvre les perspectives d’investissement, car le marché est fragile. Les sociétés qui n’ont pas prévu de solutions pivots, ou à cours de financement, mettent les clés à leurs portes et libèrent la concurrence tandis que les coûts de démarrage, les loyers, les frais, sont à la baisse. Par la même occasion, le fonctionnement d’une entreprise en temps de crise est moins coûteux avec le marché de l’emploi tendu (salaire largement négociable) et les aides octroyées par l’État et les institutions financières (réduction des taux d’emprunts).

D’autre part, la reconversion vers l’entrepreneuriat cache de nombreux pièges entraînant plus de difficultés et dans la majorité des cas, l’abandon. Les chiffres indiquent que 49,5% des entreprises échouent dans les 5 premières années et que la grande majorité d’entre elles sont des start-ups (80%). La réalité qui se cache derrière l’entrepreneuriat en 2022 est donc plus cruelle que ce que les nouveaux entrepreneurs pensent.

Les valeurs des idéologies et des techniques d’entrepreneuriat disparaissent au profit de l’impatience et l’appât du gain.

L’entrepreneuriat est une aventure houleuse qui réserve de nombreuses « mauvaises » surprises. Cela dit, la médiatisation des success-stories, les discours flatteurs voilent trop souvent les ardeurs de la discipline. A cet effet, les nouveaux entrepreneurs s’inspirent de la propagande d’un business (ce qui a marché pour d’autres), du changement socio-professionnel (indépendance, confiance en soi, devenir patron) pour investir dans un modèle marketing flottant, créé à la sauvette, et voué à l’échec.

En substance, l’appât du gain et l’impatience deviennent les fondements de l’entrepreneuriat et, dans une large mesure, la création des PME modernes. Pourtant, la réalité rattrape très vite les entrepreneurs qui ne prennent pas en considérations les valeurs et les techniques déterminantes pour la croissance et à la réussite, à savoir :

  • Les facteurs inhérents à l’entrepreneur.

Le monde de l’entrepreneuriat se révèle très exigeant en ce qui concerne le profil des dirigeants. Des études démontrent que le rythme de croissance d’une société est directement lié à la capacité d’analyse des entrepreneurs. Le niveau de scolarité, les formations, les expériences professionnelles, l’âge sont déterminants pour la définition des différentes stratégies. Créer une entreprise sur la base d’une idée (même prometteuse) n’est pas suffisant pour diriger et contrôler les différents processus de planification, de gestion de personnel et comptable, de gestion et orientation des activités, etc. C’est pour ces raisons que les entrepreneurs par reconversion rencontrent des difficultés dès les premiers mois ou premières années.

  • Les facteurs inhérents à l’entreprise

Les risques d’échec des start-ups et des PME sont très élevés lorsque la forme, la constitution (le statut) et la stratégie sont incompatibles avec le marché visé. L’analyse post-mortem des sociétés liquidées illustre que la chute d’un business est généralement entraînée par une mauvaise orientation du marché (un produit ou service qui n’a pas de clientèle), des charges financières trop lourdes générées par la taille et le régime fiscal (capital financier), et l’incapacité générale des équipes (capital humain).

  • Les facteurs externes

Bon nombre d’entrepreneurs écartent l’importance de l’écosystème entrepreneurial durant le processus de création d’entreprise. En d’autres termes, les business plans qui ne prennent pas en considération l’évolution du marché, les collaborateurs externes, le dynamisme des prix, l’émergence des technologies, sont les premiers à rencontrer des difficultés. Ainsi, l’incapacité à innover et à se préparer aux différents changements réduit drastiquement les chances de croissance, mais aussi la pérennisation du business model en cas de crise ou de forte concurrence.

 

Section 2 : L’Administration et le financement : Les bêtes noires des entrepreneurs.

Si autant de Français ont réussi à lancer leurs activités en 2021, c’est que la démarche de création d’entreprise n’est pas difficile. Parallèlement, les micro-entreprises et les PME parviennent à prendre leur envol avec des épargnes et des prêts bancaires pour commencer leurs activités. Cependant, les surprises ne tardent pas à apparaître lorsque les charges fiscales et les fonds de roulement prennent de l’ampleur et limitent les marges de manœuvre des entrepreneurs.

La régularisation, les démarches administratives, les charges et les impôts freinent l’expansion des entreprises.

En général, l’Administration encourage les usagers à sauter le pas via différentes assistances telles que les centres de formalités des entreprises (CFE) où tout se déroule facilement et rapidement (guichets uniques pour l’immatriculation). Cela dit, les problèmes administratifs commencent à apparaître lorsque l’adéquation des activités et les charges qui y sont liées sont inadaptées. Ainsi, le mauvais choix d’un statut et par conséquent d’un régime fiscal peut entraver la croissance ou même la viabilité (assiette trop lourde, chiffre d’affaires limité, etc.) de l’entreprise.

Pour l’État, toute activité (revenu, salaire payé, chaque mètre carré, chaque produit/service) est reliée à une taxe. La complexité de ces systèmes d’impôt direct et indirect est souvent à la base des imprévisions (TVA, CET, CFE, etc.). Ainsi, la méconnaissance du régime fiscal idéal (sujet à des modifications récurrentes) constitue également un frein à l’expansion.

L’autofinancement, le prêt bancaire, la levée de fonds… ces solutions éclectiques qui ne marchent pas pour tous.

L’argent est le nerf de guerre de l’entrepreneuriat. Dès le début du projet d’entreprise, il joue un rôle primordial pour financer les moyens matériels et humains. Durant le processus de développement, le besoin en argent s’agrandit fortement, ce qui met à mal la santé de l’entreprise qui n’est pas préparée. À cet instant, il devient urgent de recourir à des sources de financement extérieures en dehors du cercle d’amis et des membres de la famille. Pourtant, les alternatives sont très limitées :

  • Dans un premier temps, les institutions de crédits requièrent des garanties pour étudier et envisager un prêt à une entreprise. Celles-ci prennent la forme de cautionnement, de nantissement ou d’hypothèque. D’autre part, le montant des crédits bancaires est souvent limité par rapport aux demandes des entreprises en difficulté.
  • Dans un second temps, la levée de fonds auprès d’investisseurs est réservée aux grands projets prometteurs. En effet, trouver un financement auprès de sociétés d’investissement demande beaucoup de préparations (business plan impeccable, secteur d’activité peu concurrentiel) et de sacrifices. L’ouverture du capital peut être dévastateur pour une entreprise dans le sens où les initiateurs perdent en autonomie de gestion (comptes rendus, décisions collégiales des stratégies), en bénéfice (le nombre d’actions détermine les dividendes qui seront versés). En outre, les PME sont généralement écartées du circuit d’investissement en raison d’une trop forte concurrence, et spécifiquement lorsque les grands groupes se mettent à jouer les charognards.

 

Section 3 : Le portage entrepreneurial montre la voie.

L’entrepreneuriat est un terrain professionnel instable qui suggère beaucoup d’efforts. Comme disait Thomas Edison « le génie c’est 1% d’inspiration et 99% de travail », aussi le risque de tomber est très élevé lorsqu’on n’est pas préparé à affronter la tonne de défis des entreprises qui attendent derrière l’image du succès. C’est dans cette perspective que la présidente fondatrice de l’UNEPS (Union Nationale des Entreprises de Portage Spécialisées) Josette Londé a créé un moyen d’alléger les charges des entrepreneurs et d’optimiser les chances de survie et de succès des entrepreneurs à travers le portage entrepreneurial.

Les projets s’affranchissent d’un statut juridique traditionnel. Le portage entrepreneurial démocratise à l’accès à l’entrepreneuriat.

Le portage entrepreneurial est un statut d’entrepreneur non régi par le code du travail. Contrairement au portage salarial, il n’est pas soumis à un régime de salariat, ce qui veut dire qu’il peut être exercé par tous (étudiants, nouveaux diplômés, consultants, agriculteurs, etc.). Il donne également droit à la Sécurité Sociale (avec indemnités journalières). En revanche, il écarte le droit aux indemnités de chômage.

Le principe du portage entrepreneurial se focalise sur l’indépendance du client porté. Entre autres, ce dernier fait appel à un contrat de mandat auprès d’une société de portage pour assurer sa notoriété. Cette dernière s’occupe des volets administratifs pour permettre à l’entrepreneur de se concentrer sur ses activités.

Les impôts, les factures, le plafond du CA et la paperasse… c’est fini !

Les avantages du portage entrepreneurial sont inhérents à l’affranchissement administratif. Concrètement, l’entrepreneur laisse le calcul et la déduction des impôts et l’établissement de sa facture aux clients, aux soins de l’entreprise de portage entrepreneurial.

Ensuite, le statut libéral de l’entrepreneur lui permet d’exercer ses activités et son business sans balises. Ainsi, son chiffre d’affaires n’est pas limité (contrairement au statut d’auto-entrepreneur).

Choisissez le secteur, trouvez les clients et laissez la société de portage s’occuper du reste.

L’entrepreneur porté n’a pas de compte à rendre à la société de portage entrepreneurial. En ce sens, ses missions peuvent s’étaler sur d’innombrables axes, se cumuler et fonctionner à leurs rythmes. Puisque la société de portage n’a pas de relation juridique directe avec les clients du porté, les activités sont plus libérales (contrat avec des entreprises, des associations ou privés).

Au final, le portage entrepreneurial a été confectionné pour les personnes qui recherchent une reconversion ou aspirent à développer un projet sans contraintes administratives. Le statut du porté offre une meilleure sécurité et visibilité dans l’orientation de sa stratégie d’entreprise. En l’occurrence, il peut travailler avec ses propres moyens, gérer son personnel et ses matériels sans pression et disposer d’un meilleur contrôle dans la partie stratégie et exécution. Le portage entrepreneurial se présente comme le meilleur remède pour créer une source de revenus après un licenciement ou l’obtention d’un diplôme. JL Portage propose des solutions de portage entrepreneurial accessibles qui garantissent un démarrage d’activité en 48h, une sécurité sociale spécifique, un bulletin de paie et bien d’autres avantages.


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